Gladiator : Gods of the Arena
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 Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]

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4 participants
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Aejej

Aejej


Messages : 46
Date d'inscription : 09/03/2011
Localisation : Au côté de ma Domina Eliana

Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]  Empty
MessageSujet: Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]    Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]  EmptyDim 13 Mar - 1:02

ESCLAVE

Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]  Vavafiche

IDENTITÉ


    Nom(s) : Je n’ai pas de nom de famille
    Prénom(s) : Aejej
    Surnom(s) : Aejej
    Age : 21 ans
    Origine : Syrienne
    Durée de la captivité : 6 ans
    Maitre attitré : Ma Domina est Eliana Vintus Marcellus
DESCRIPTION DU PERSONNAGE

    CARACTERE:

      Je suis une Esclave, ma réalisation dépend donc de l’épanouissement de ma Domina Eliana et en cela il ne faut pas vous leurrer, nul ne passera avant elle ou son bonheur, pas même Hector, ni ma petite personne. Je suis entièrement dévouée à Eliana et j’avoue, que les Dieux de l’Olympe m’ont favorisé le jour où elle a eu pitié de moi sur le marché de Néapolis. Pitié, ce mot vous parait avilissant ? Non. Il est clair que sans cette rencontre, mon sort aurait été bien pire, je lui dois mon salut et j’en défends âprement cette vérité avec lucidité. La sollicitude qui nous toucha ce jour là, donna naissance à la plus mirifique complicité qu’il soit. Ajoutez, une autre pensée plus intimement liée à la condition féminine qui puise l’une de ses plus belles concrétisations en s’occupant d’autrui ; je me vois donc gratifiée, d’un devoir qui m’est des plus agréable car Eliana pourvoit avec une compréhension inégalable à mon bien être. Une connivence que nous ne devrions avoir pour certain, sachez nonobstant que je suis prête à donner ma vie pour ma Domina, car sans elle, entrevoyez l’horrible vérité de mon statut ; je ne suis rien. Que Jupiter protège Eliana Vintus Marcellus ad vitam eternam !

      Je suis une Danseuse, dans mon monde, l’existence n’est qu’une suite d’harmonies musicales, que mon corps vous expose ; je reçois, ressens et exprime une émotion par des ondulations et des vibrations, que des impulsions mélodieuses endiguent. Ma tête est le néant, je me moque de tout ce qui peut m’entourer, de ce que vous pouvez penser ; j’ai conscience de n’être qu’un objet animé, créer pour le plaisir des yeux et que l’on me contemple s’avère être le cadet de mes soucis. A quatre vingt pour cent moi, en osmose avec mon être, ma liberté, ce pour quoi je suis.

      Je suis Amoureuse d’un gladiateur Hector ♥️. Que Hercule le protège ad vitam eternam ! Aucun homme ne saurait me rendre plus heureuse que lui, du moins ce que je crois. Depuis mon arrivée et mon rattachement à Eliana, je lui voue une admiration sans borne. Malheureusement, ce n’est pas réciproque. Il ne vit que pour les combats dans l’arène. Les estocades qu’il reçoit, me sont chaque fois plus douloureuses, j’en perds mon souffle qui dans ces moments, n’alimente qu’une unique angoisse et s’il mourrait. Je ne saurai forcer le destin, en me déclarant à lui, sous peine d’essuyer un refus ; je préfère rester présente, fonction des possibilités que m’offrent Eliana. Je lui sers du vin, lui ramène des corbeilles de fruits, converse si l’envie lui en prend, n’oublions pas que c’est un rustre ; je panse ses blessures si besoin est. Peut être qu’un jour Hector me tendra cette main que j’attends et couvrira mes monts de Vénus, ou pas :p Comprenez cependant, que jamais, je ne m’aventurerai à espérer plus ou rêver d’un nous inaccessible, au risque de souffrir, plus que la situation ne le nécessite.

      Je suis une Syrienne ; une fille du désert, généralement sobre au caractère difficile endurant et tempéré. N’allez point imaginer que j’en sois pour autant moins belliqueuse et fière. Ad contrario, j’ai le sang chaud des hommes de mon pays et quand le sem (la rage) coule dans mes veines, ma langue se révèle acérée, des plus venimeuses, notamment lorsque je me heurte à ce qui ne me plait pas. Repus depuis mon plus jeune âge, aux silences et à l’observation, j’ai vu la cruauté des manigances de mes maîtresses de sérail et la mort. Je n’hésiterai pas, si Eliana me le demandait ou si la sécurité d’Hector en dépendait, à utiliser les ruses de mes ancêtres, à défier de ma verve les plus hauts stratèges, afin de protéger ceux que j’aime quitte à en perdre la vie.

      Je suis une Femme. *Sourire.* Scandaleuse, douce ou brutale et gourmande dans ma sexualité. Je dissocie avec habilité, charnel et raison de cœur. Hector ignorant dans l’immédiat, l’amour que je lui porte, de la plus brillante façon qu’il soit ; permettez moi de vous informer que se trouve face à vous une tentatrice des plus avenante et capricieuse. Loin de sentir peser sur moi, le poids de la culpabilité d’une infidélité concernant le gladiateur que j’aime, j’estime ne pas avoir à me restreindre et m’occupe en patientant qu’il daigne s’accomplir et me retenir ou pas T.T. A ce titre, il n’est pas rare qu’à défaut de m’abandonner nue entre les bras d’Hector, que je m’échoue contre un autre homme, afin d’apprécier les délices de la chaire. Et si les chaines de celui dont je suis éprise secrètement, viennent à m’asservirent, je ne lui ferai pas l’affront d’être une vierge effarouchée :p A cent pour cent moi ;-)


    PHYSIQUE:


      ◤ Taille : Je mesure un mètre soixante dix.
      ◤ Poids : Je pèse cinquante sept kilos.
      ◤ Corpulence: J’ai le visage poupin et le corps désarticulé, élancé d’une danseuse.
      ◤ Signes particuliers : J’ai de fines cicatrices dans le dos, dues à des coups de fouets. Séquelles de mon séjour à Néapolis. Un grain de beauté sur le menton.
      ◤ Autres : Je porte une pierre de nombril, une topaze blanche. Je ne supporte pas que l’on touche mes cheveux.

    HISTOIRE:

      ~ Décompte des Mille et Une Tuile ~

      Je suis née à Antioche, ville de Syrie dans une caste d’esclaves, il est donc normal que je n’ai qu’un prénom et aucun nom de famille. Je n’ai pas de souvenir de mon enfance avec mes parents, j’ai été cédée dès mes premiers pas au Roi Helden Rhira souverain de l’époque, du peuple des Séleucides ; pour quel motif ? Ma couleur de peau et mes cheveux lisses, plus clairs que la normale, chose rare et prisée.

      Durant mes années de services au seing du palais, je n’ai souffert d’aucun mauvais traitement, toujours mangé à ma faim si ce n’est plus, la profusion des fruits gorgés d’eau et juteux, des vergers royaux étant abondants. J’ai profité du soleil à l’abri des palmeraies, j’ai dansé pour Helden et ses guerriers dans des salles somptueuses, assistée aux combats de nos guerriers dans le désert ; ma condition d’esclave n’a jamais été déplorable et en ce sens, je ne me suis jamais plainte, bien au contraire, je ne cesse de remercier Diane de ce départ qui fut le mien.

      Il n’y a pas grand-chose à raconter de mon enfance ; d’abord enfermée avec des femmes de tous âges dans les partis privés de la cour d’un harem, « hiérarchisée » dès cet instant comme « apprenties musiciennes » terme qui définit les enfants du sérail, j’ai été prise sous l’aile protectrice de la Principale Epouse du Roi, une femme généreuse, souriante, juste, remarquable, pulpeuse et pleine de vie, elle s’appelait Odessa. Dès lors elle me protégea d’Hosnia, la mère du Roi, une femme bedonnante, scarifiée de cicatrices et tatouée au henné ; elle était véritablement « terrifiante » perturbante de par son aspect, elle transpirait la fourberie.

      Du plus loin que je me souvienne... C’est d’avoir pu courir, jouer et rire, dans les couloirs du sérail, avec d’autres enfants ; nous singions ces guerriers qui nous obnubilaient et que nous ne cessions d’épier par admiration, tandis que des servantes veillaient, nous rappelant nos obligations dès que nous passions outre. Aux environs de cinq ans, les choses se sont légèrement compliquées. Je n’étais pas forcément des plus rebelles sur mon sort d’esclave, cependant le Roi avait statué sur mon devenir et il était de mon devoir d’obéir au Sultan ; je ferais donc partie de la troupe des danseuses.

      Dès lors on m’initia à cet art et ses subtilités, mon corps n’était qu’un outil, ce serait sa beauté, sa souplesse, sa grâce et mes sourires qui seraient appréciés à titre de distraction. Consciente quant à mon rang, je ne me suis opposée à cette décision, j’aurais préféré magner le sabre, allez savoir pourquoi, quand on est gosse, les idées qu’on a... Odessa me conforta, c’était là ce qu’il y avait de mieux, que si dans l’absolue je ne voyais que des fanfreluches de bonnes femmes et des heures perdues dans les hammams du palais à être qui plus est enduite d’huiles précieuses et d’argan au point de frôler la chute à chacun de mes pas, j’y trouverai entre autre mon essence ainsi que mon aboutissement.

      Et me voilà autorisée à franchir de nouvelles portes ; je découvre de nouvelles salles, avec d’autres apprenties, nos rires et nos émerveillements foisonnent, car tout est luxueux, des murs embellis d’or et de pierreries, scintillantes de couleurs, tout n’est que faste ; cependant pas le temps de s’y attarder que déjà cette découverte est accompagnée des premières contraintes, des heures d’étirements, d’assouplissements, de contorsions, viennent les répétitions, l’apprentissage des transes ; on se doit de garder un maintient irréprochable, d’avoir une mine des plus engageantes et aimables, aucun relâchement ne nous est toléré, de notre réveil à notre endormissement, il en est de la sorte jusqu’à ma dixième années, sans que cela ne me pose de souci, au contraire tout ne m’était que facilité, probablement une prédisposition bien sentie par mon seigneur et maitre.

      Puis le Roi eut une nouvelle lubie quant à mon utilité, il ne lui suffisait plus de me voir parer de voiles et de bijoux, de ressembler à un vers luisant, non l’idée d’observer mes déhanchés rehaussés de serpents, lui fut attrayante... Mes journées furent donc scindées, entre des entrainements pour une discipline devenant chaque fois plus ardues et les heures aux vivariums du palais en compagnie cette fois de fakirs ; par Diane qu’ils étaient laids, ces hommes et leurs reptiles m’effrayaient, mais je ne suis qu’une esclave et je me devais d’être proéminente afin de satisfaire mon souverain. Il faut croire qu’une bonne étoile éclaira de nouveau mes pas, me libérant de ma peur des écailleux, je trouvai là à accomplir un autre désir d’Helden.

      Mes nuits, je les passais toujours au harem, avec Odessa, inlassablement présente pour répondre à mes questions enfantines et me parler de choses et d’autres, m’expliquant que je comprendrai plus tard ; déjà docile et insouciante, je ne m’étonnais guère que certaines de mes interrogations, n’aient en réponse que des sourires. Ce que j’ignorais à cette époque, c’est qu’Odessa souffrait d’un mal étrange, qu’aucun homme de science, ne put nommer ; et ce fut un soir, revenant éreintée d’un entrainement, croyant rallier le réconfort à ses côtés, que je contemplai l’horreur... Les médecins du palais royal, tous aux chevets d’Odessa pratiquant une saignée alors qu’elle était enceinte... Par Angita mon regard fut confronté à une vision d’horreur dépassant mon entendement qui me choqua et notre souveraine confiante, alitée dans des draps de brocards, restait sereine... Quinze jours plus tard, Odessa fit une fausse couche, dans un élan de fatigue d’avoir perdu ce qu’elle désirait le plus au monde, elle me confia dès lors entrevoir sa fin ; apaisante, je n’étais que contradictions quand à ses dire que j’estimai de mauvais augure. Un mois après elle mourut dans son sommeil. Je vis la mort pour la première fois, l’incompréhension m’étreignit, Odessa gisant les yeux grands ouverts et souriante, le corps froid. Je fermai ses paupières, les couvrant de deux écus, les larmes perlèrent sur mes joues, je perdais là une mère, une femme qui m’était un bastion...

      « - La Reine est morte ! Faites place à Nausicaa la nouvelle épouse officielle d’Helden !
      - Longue vie à Nausicaa ! »
      Scanda la foule ! Les remplaçantes au seing du sérail, ce n’était pas ce qui manquait, tout cela était normal. Je dus le soir même danser pour le deuil de la défunte que j’affectionnais et le lendemain pour l’accession au trône de cette nouvelle souveraine...

      S’en suivirent les premiers dommages collatéraux de la guerre. Apercevant nos guerriers revenir, des fenêtres de fer forgé du sérail, tous blessés au palais ; ma réaction se fit compatissante et dans un élan de spontanéité, je demandai à cette nouvelle sultane. « - Nausicaa, je veux parler au Roi ! - L'intonation ne supportant aucune négation… - Qu’est ce que tu lui veux encore... - Pour notre souveraine, je n’étais qu’une amusante petite chose capricieuse. - J’exige de soigner nos vaillants soldats ! - Qu’elle perte de temps songea probablement Nausicaa. - Ma pauvre enfant tu as de ses idées absurdes. Soit, j’en parlerai ce soir à Helden. » Mélange de compréhension et d’aubaine d’avoir à se débarrasser de moi... J’obtins donc un entretien avec le sultan quelques jours après. Il accéda à ma demande d’acquérir un minimum de savoir qui m’entrainèrent cette foi, jusqu’aux portes des sorciers du palais ou j’adoubais mes connaissances de potions médicinales et autres soins susceptibles de sauver des vies.

      Danseuse, charmeuse de serpents lors de festivité, apprentie soigneuse pendant mes journées et encore apprentie musicienne, à mon retour le soir au sérail privé. Depuis la mort d’Odessa, je m’étais d’office permise de prendre une couche vers les servantes, déjà clairvoyante quand à ma condition, de plus je ne tirai aucun plaisir à rester en compagnie de ces fats et écervelées épouses... Et Helden commanda à quérir ma présence plus souvent pour d’autres choses que la danse. Des conversations ? Oô Que pouvais-je dire à mon souverain, je n’étais que pâmoison face à lui, le dévisageant de mes yeux de biche, souriante et candide. Bref, il fut patient, jugeant que je n’étais bonne qu’à danser et m’occuper des hommes blessés, il préserva l’enfant et mon devenir de femme, m’initiant aux joutes verbales, à l’équitation, aie trouvé l’assiette sur un pur sang, je vous garantie que ce n’est là une chose aisée xD

      Et Nausicaa décéda mystérieusement. J’en fus légèrement touchée apparemment déjà rodée par le départ d’Odessa et je n’eu de toute façon, pas le temps de m’appesantir que mon devoir de danseuse prit l’ascendant, pour l’arrivée de la nouvelle Reine Syam. Une très belle femme, au visage un brin austère, limite froide et imbu ; une chevelure noire d’ébène, d’une longueur, s’irisant de discrets reflets bleutés marine, un physique élancé, doté de formes généreuses. Une Syrienne, bien de chez nous, fille d’un riche je ne sais quoi, recommandée à son fils par Hosnia. La vieille femme, me fit crier les youyous durant toute la nuit, que j’eus une extinction de voix le lendemain, le miel remédia avec rapidité à mon incapacité vocale. Syam et moi commencèrent à discuter de choses et d’autres, sa placidité et son discernement, m’enchantèrent, Hosnia veillant dans l’ombre du temps d’Odessa, était omniprésente avec Syam.

      Et le temps trépasse, à mes quatorze ans, ma rhétorique et mon intelligence avait progressé d’une manière phénoménale sans que je n’y fasse attention, insouciante ; j’étais une sorte de quintessence, de moelle si vous préférez, grecquo musulmane, qui avait absorbée les engeances et obligations de son peuple, de ses dirigeants. Bien qu’esclave, au demeurant soumise et effacée devant Maître et Maîtresses, je n’étais pour autant privée en aparté de délivrer ouvertement mon ressentit ; seulement moi... Je préférai danser.

      Le sultan bienveillant, toujours soucieux d’éveiller ma candeur, usa un jour de son autorité, me forçant à assister à un combat dans le désert, je n’étais pas motivée, reconnaissons le. Cependant je n’étais qu’une servante, et me voilà à dos de cheval à ses côtés, obéissante et observant, nos hommes donner l’assaut, épées en l’air, hurlant « - Helden Rhira ! » Ces cris de valeureux guerriers ancrés de ferveur... Que dire de cet instant. Mes tympans perçurent l’impulsion du son qui coula dans mon sang de la plus étrange manière, étreignant mon cœur, explosant d’une fierté, forte d’une intensité pour les miens, pour ce Roi ; curieusement mon regard fut différent, j’étais inconsciemment admirative. Pourquoi ? Si je le savais :’/ Ohé Oh je n’avais que quinze ans :p

      Quinze ans T.T Cette année fut bien la plus cruelle que j’eus connut.

      D’une j’appris par les femmes du sérail, aux langues déliées, que sous-jacent à mon destin de danseuse, se voilait là un autre mektoub, celui d’être l’une des amantes d’Helden. Un fou rire s’empara de ma personne à l’annonce de cette nouvelle, j’en tapotai dans mes mains et la phrase qui sortit de ma bouche fut :p « - Futilité, vous n’êtes pas sérieuses ? » Il semblerait que si. « - Mais... » Oô Et me voilà repartie à rire de plus belle, je considérai cela désopilant qu’un Roi s’abaisse à une telle... Libéralité... Bien qu’il fut des plus charismatiques, dans son kamiss et selham blanc, l’apanage des Sultans {costume traditionnel version raccourcis}, et prestigieux sur son destrier... Ahhh... *Soupir.*

      Et de deux, Antioche fut assiégée par les Romains. La guerre débuta. Helden, fit partir diverses caravanes, pour mettre ses enfants et épouses à l’abri. La mienne quitta ce havre de paix dans les dernières, mon exode s’entama, des larmes de rage coulèrent, sur l’infamie de notre ville pillée, saccagée, nos murs envahis, détruis et les morts, Odessa, je voulais rester…

      Comme s’il n’eut suffit que les malheurs s’enchainent ; un détachement de soldats romains, mit le grappin sur notre convoi d’esclaves. Les barbares latins massacrèrent nos guerriers, jaugèrent la qualité de la viande ; des hommes d’aucune finesse, lourd d’une subtilité désobligeante ! Nous rejoignîmes dès lors les galères, jetées dans des cales humides et sales d’un navire, une horreur... Je fus rouée de coups refusant obstinément que mes compagnes et moi, quittions nos vêtements devant un officier ; la barrière de la langue n’aidant pas, je ne comprenais un traitre mot de ce qu’il me demandait T.T Puis même ! Je gardais donc mes haillons.

      Une sortie journalière, nous était autorisée. La lumière... Par Sol, je l’ai tant chéri ce moment de marche sur lattes de bois de l’embarcation, j’eus la chance d’entrevoir Syam, elle semblait bien traiter... Une bouillie, de blé et de l’eau pour nous sustenter, quelques rudiments de locutions latines, afin de saisir nos « tortionnaires », le voyage est amorcé. Au fur et à mesure des escales, les esclaves s’engorgent dans les réduits où nous sommes retenues captives ; je vois là des femmes pleurant leur sort, abattues. Mon tempérament vindicatif ne cédait, partagé entre rage et raison face à cette soumission violente imposée, chose que je n’avais vécue jusqu’ici, m’attachant aux mots d’Odessa, je ne cessais de me répéter ; le sable n’est qu’illusion, le véritable chemin de vie réside dans l’acceptation, difficile T.T

      Une nouvelle halte de la galère et Ania embarquait contre son grés, une numide capturée. Elle parlait l’araméen. Pendant notre séjour de navigation, elle m’apprit le latin, ses bases et déclinaisons ; le langage des signes, fit place aux maux de têtes, à l’élocution et de nouveau les rires. Souffrir est un état d’esprit inutile et cher payé, quand le corps subit contre son grès, des collisions de gifles, de coups de fouet, nos ravisseurs testant notre résistance sans nous ménager...

      Ania m’expliqua qu’elle était la femme d’Oenomaüs, un gladiateur, j’ignorai l’existence même de cela ; je fis un vague parallèle avec nos guerriers s’affrontant à l’entrainement, loin d’en deviner pour autant la rudesse des mises à mort se cachant derrière ce métier. Les romains ; une culture différente à appréhender, alors que je ne savais ce qui m’attendait T.T Enfin, suspendue à l’idée de jours meilleurs à venir, c’est pendant une balade sur le pont avec Ania, que respirant l’oxygène pur, je découvris stupéfaite des poissons énormes bondissant hors de l’eau, la numide me les désigna.

      « - Aejej des dauphins ! - J’étais émerveillée. - Des dauphins ? Quels animaux surprenants et grandioses ! - La numide m’informa sérieuse. - Des légendes prétendent qu’ils sont plus évolués que l’homme. Ils parcourent le fond des océans, depuis des millénaires ! - Un sourire et me voilà songeuse, que de beauté océanique par les tridents de Neptune. Ils se mirent à siffler, qu’elle cacophonie, j’en haussai les sourcils emprunte d’un minois enfantin, la femme d’Oenomaüs, sage, plaisanta à voix basse. - Les dauphins rient de nous et de nos incapacités ; pour eux, nous ne sommes que les instruments de notre propre destruction. Ils se gaussent des erreurs de nos agissements qui conduiront, selon eux, les hommes à leur perte. » - Je pensais là qu’elle devait être folle. En quoi un mammifère marin, put se voir attribué un cheminement de réflexion, n’est-ce point là une originalité ahurissante ?

      Pas le temps de s’appesantir sur le sujet, qu’il nous fallait retrouver l’air vicié de nos lieux de détentions ; je restai ce jour là, l’ouïe aux aguets percevant les ricanements des cétacés se mêlant au tambour rythmant les rames des galériens celles-ci frappant avec fermeté l’eau, la proue pourfendant mer et air à vive allure, nous guidant vers d’autres rivages. Chaque jour durant nos sorties sur le pont, je constatai le cœur emplit d’un harassement, que les dauphins étaient toujours présents, célébrant de leurs sauts les plus majestueux, notre arrivée, nous obligeant à regarder le ciel de nos yeux douloureux, habitués à l’obscurité des cales. Allez savoir pourquoi, ils furent à mon âme, en cette période trouble, une salvation et je repris confiance progressivement, alors qu’ils escortaient notre vaisseau à destination, le marché d’esclaves de Néapolis.

      Une descente aux enfers... Le revendeur voulut tester la qualité de cette nouvelle marchandise dont il était le possesseur. Enfonçant ses doigts crades, dans ma bouche qu’il ouvrit afin de vérifier la qualité de ma dentition, je le mordis au sang, réflexe, le goût ferrugineux se rependît entre mes lèvres tandis qu’une gifle brutale s’abattit sur mon crâne, je lâchais prise ; le sagouin, n’en fut pour autant découragé, s’enquérant de mes galbes, mes haillons furent arrachés, mise à nue devant lui, il palpa de ses mains pourries et rugueuses mon corps, je fus cette fois frappée de honte et de déshonneur, aucun homme d’Antioche ne s’était avisé à ce genre d’outrage, qu’il faille que ce soit ce marchand qui s’en charge. Je lui crachai à la figure, emplit de haine, qu’une seconde baffe des plus magistrale m’assomma et je fus ligotée fouettée, jusqu’à ce que ma volonté faiblissent à lui quémander un pardon... De qu’elle magnanimité dussè-je faire preuve pour m’abaisser à cela, je ne capitulai, jusqu’à ce que la douleur me fasse perdre connaissance.

      De retour dans les caves de l’esclavagiste, à demi consciente en état de choc, je retrouvai Hosnia, mourante dans les bras de Syam. Elle nous confessa l’empoisonnement d’Odessa et Nausicaa, j’étais déjà brumeuse et nauséeuse mais là… Cette vieille peau était misérable et impardonnable, tachant encore de manipuler sa belle fille dans la mort et devant moi, elle n’avait que ce qu’elle méritait, qu’elle crève...

      Je tournai définitivement le dos à défaut d’une page à ce passé, regagnant le coin où Ania et moi étions, titubante. La numide me soigna du mieux qu’elle put, me rassurant ; je cauchemardai cette nuit là, me rappelant la cruauté de gestes anodins, d’un thé à la menthe servit tous les soirs à la reine principale, me revint en mémoire son emportement le jour où, Nausicaa refusa des loukoums offerts, la perfidie dont elle avait fait preuve pour la tuer, que de complots in fine inutiles, cette fatale hérésie la rongeant, desservant son trépas... Je n’aimerai pas mourir de la sorte.

      Enfin... Fort heureusement ma délivrance apparut le lendemain sous les traits déterminés d’une adolescente blonde, plus petite en taille que moi Oô Le pourquoi du comment qui fit qu’Eliana Vintus Marcellus posa ses yeux bleus sur cette esclave que j’étais, m’accordant une mansuétude, dépassant mon entendement au point que l’étincelle de dévotion éteinte se ralluma, je ne saurais vous dire ; j’étais si lasse.

      J’intégrais maintenant le domaine du Lanisla Julius Vintus Marcellus à Capoue ; remise sur pieds quelques jours plus tard, je prenais mon service auprès d’Eliana. Dès le départ je ne vous cacherais pas que je fus craintive, les derniers événements égrenés et imprégnés à fleur de peau, je n’étais qu’une esclave farouche, perdue car déracinée, qui dut se délester d’oppressions encaissées et réapprendre la confiance.

      Et cet imbécile de Cupidon, oui je maintiendrais mes positions à son sujet... Qui me décocha une flèche en plein cœur lorsque je vis Hector, le champion du ludus des Marcellus, je ne méritai en rien cela. Aimé un garçon avec aucune raison apparente, en dehors de son physique et qui de surcroit vous ignore, préférant courir et marteler ses congénères dans l’arène. Une brute épaisse ! Un ignare ! *C’est lui que tu aurais du viser guedin de Cupidon, pas moi, à moins qu’à ce moment tu aies été pris d’un sursaut, t’aurais t’on fait une farce, que tu te plantes de cible... Soupir.* Etais-je maudite ? Je le pense oui. Eliana elle, s’enticha de Gannicus, cause encore moins enviable, son père haïssant le gladiateur du lanisla, Quintus Lentulus Batiatus, son pire ennemi. Bref...

      Il me fallut apprendre à dissocier la froideur des actes de ma Domina, la foule nous astreignant, je n’étais ni dupe, ni bête au point d’ignorer qu’elle me protégeait, me guidant dans une société qui m’était alors inconnue. J’en eus même de l’ironie, des hommes s’accoutrant de robes tels des femmes, pardon des toges, des gladiateurs torses nus, en jupes T.T Par les massues d’Hercule, ce fut pour moi une nouveauté des plus indécentes, comment être sérieuse. Eliana m’infligea en sus des heures de théâtre, qu’est-ce donc encore cette folie ; des hommes incarnant aussi des rôles féminins, immobiles et sentencieux dans leurs allures, déclamant des strophes incompréhensibles *-* J’étais dépassée retenant mes rires. Mais admirative quand c’était ma Domina qui clamait ces odes écrites dédiées aux Dieux, défiant l’ordre établit. Par Diane qu’elle oratrice !

      Précision à mon avantage, n’étant pas de naissance musulmane en tant qu’esclave, ma foi d’obédience grecque donc polythéiste, m’aida à intégrer les dieux romains avec facilité. Eliana paracheva mon éducation, m’obligeant à écrire et lire ; moi une simple servante, danseuse au demeurant, vivant dans une autre catégorie d’expressions T.T Je n’eus pas le temps de penser à grand-chose, je me devais de faire abstraction de mes faiblesses afin de soutenir et d’afficher une complète disponibilité pour ma Domina. Mes analyses devinrent pertinentes à son contact, j’appris à formuler ma rhétorique dans l’unique but de renforcer les fortifications d’Eliana. Une artiste à mon sens, distillant de ses doigts agiles des accords de lyre ou de harpe captivants, sur lesquels j’adorais danser. La bonne humeur fit place, les confidences s’enclenchèrent, prélude d’une compréhension me chamboulant le cœur. Alors que j’étais frémissante à l’idée d’entrapercevoir Hector du balcon de la maisonnée, s’entrainant dans le ludus, elle me confiait les affres de son amour pour Gannicus.

      Il nous fallut assister à nos premiers combats de gladiateurs. Pour moi au départ, ce n’était qu’un jeu, j’étais naïve, chaque victoire d’Hector me rendait plus fière de lui et enthousiaste à son égard. Je ne cautionnai pas la violence gratuite qui émanait de ces combats, ma sensibilité de danseuse en prenait systématiquement un coup, les cris grossiers de la plèbe se repaissant d’une telle cruauté me choquaient et me révulsaient des plus profondément.

      Enfin, Eliana dans un élan de bonté, me permettait par ailleurs, d’approcher plus Hector, m’autorisant de temps à autre à circuler dans le ludus, plaidant pour moi auprès de Julius *-* J’essayai dans ces instants de manifester mon attirance à cet homme dont j’étais éprise, peine perdue, dialogue de sourd ; je rentrai in fine plus énervée que jamais et déçue de le voir si peu enclin à me considérer autrement que comme l’esclave des Vintus Marcellus. Je l’accablai de tous les noms d’oiseaux avec humour, exultant l’affront de son ignorance, avec ma Domina ; alors qu’elle-même me racontait ce dangereux bonheur qu’elle partageait avec Gannicus.

      Une goutte d’eau fit un jour déborder le vase, lorsque j’appris qu’Hector devait participer à un ad-gladium ! Là c’était de trop. Outrepassant mes attributions, je me rendis au ludus la veille au soir du combat, servant du vin à l’homme que j’aimais, mélangé à une décoction spéciale qui le rendit malade. J’encourrais son courroux, s’il venait à l’apprendre, peu importe. Etant incapable d’avoir du bon sens quand à cette vie qui était sienne, j’acterai pour un minimum de sécurité, quitte à ce que ce soit à mon détriment.

      Dans tout cela il fallut qu’une angoisse sournoise s’insinue ; le temps, les combats, me firent appréhender une notion m’étant des plus dures que j’avais à peine maitrisée jusqu’ici évoluant dans mon monde de danseuse indolente et surprotégée... Ces jeux auxquels nous assistions dans la plèbe du colisée, ces combats n’approvisionnaient qu’un besoin d’inhumanité, inimaginable et la « destruction ». Pourquoi ?! Terribilis aspectatu {effrayant à regarder} ! Pluton en était in fine le vainqueur et je refusai qu’Hector, rencontre les cohortes du royaume des morts ! Comment faisait Eliana pour supporter ça ? Une injustice, une insulte à la vie, une incongruité ! Mais une femme a-t-elle le droit de changer ce qui est prédestiné pour un homme et inversement, afin de le protéger ? Oô bref…

      Tandis que j’essuyai jour après jour, inlassablement, l’incapacité d’Hector à aimer autre chose que les combats, Eliana eu le réconfort d’un amour partagé avec Gannicus, ce que j’approuvai, bien que j’eusse préféré pour cette beauté autre chose qu’un gladiateur primitif manquant de distinction, mettant ces jours en danger, mais bon :p Ma domina radieuse et nos confidences firent que mon moral n’eut à se départir de son beau fixe, nous passions excessivement de temps ensembles et pour tout l’or du monde, je n’aurai souhaité voir tout cela changer.

      Consuetudinis vis magna est {La force de l’habitude est grande} quand on est ignoré par l’amour, on se résout vite à d’autres horizons afin de ne point perdre la raison. Qu'est-ce que d'être irréprochable, quant à un moment donné, on doute de soit ?! Mon corps en grandissant se prit d’une fièvre de gourmet, je n’hésitais pas à m’étourdir lors de mon déniaisement avec un homme autre que celui que j’aimais. Bof xD Une première fois pas terrible soyons honnête :p Et pendant qu’Eliana usait de subterfuges auprès de Julius et Batiacus afin d’obtenir une entrevue avec l’élu de son cœur, moi je m’adonnai à d’autres jeux plus coquins, m’éveillant à des plaisirs charnels.

      Ma désinvolture perdura, je m’obligeai à tempérer les accès de mélancolie qu’engendraient Hector, parfois prête à me damner pour lui, et après réflexion ; j’en considérai qu’une esclave heureuse avec sa Domina, ne pouvait en sus prétendre obtenir l’amour. M’interdisant plus qu’il n’eut fallut avec le sourire et une lucidité frappant mon cœur d’une désolation, je me fis un honneur de cette privation dont j’étais affectée. Déraisonnable, sacrifice masochiste ? Allons, ne soyez pas stupides :p J’étais réaliste, une esclave ne saurait privilégier son bien être avant celui de son unique maîtresse. N’étant point de celle qui se fourvoie sur le chemin d’une destinée, la quiétude de ma Domina était interdépendante à la mienne et de ma bonne humeur, Eliana était ma priorité, je n’avais pas le droit de flancher. A notre façon, l’une comme l’autre, nous nous devions d’être fortes et solidaires dans ce monde d’hommes où tout n’était que conspirations, barbaries et meurtres.

      Tout allait pour le mieux… Jusqu’au jour où Mars acheva de nous mettre face aux implications nous incombant T.T L’affrontement entre Hector et Gannicus.

      Assise dans la plèbe je vis le champion de la maison de Batiacus faire mordre le sable à l’homme que j’aimais. J’en eus la décence de remercier les tridents de Neptune, qu’Eliana ne soit pas affligée par la tristesse m’accablant, d’autant que Gannicus et elle, étaient emprunt d'un amour naissant, même si caché de tous. Ma Domina sans que je n’eus à la supplier m’envoya soigner Hector.

      Passant outre ma propre douleur, la hargne, je vous garantie, que j’aurais volontiers étripée de mes mains ces deux gladiateurs, nous mettant au supplice à chacun de leur combat ; je rejoignis cet homme dont j’étais amoureuse, agitée d’émotions contradictoires, ce fut d’une mine impartiale, que je dus franchir les portes du ludus où Hector gravement blessé était. Le ton comminatoire, je demandai à d’autres esclaves de m’apporter de l’eau chaude, pour nettoyer ses blessures, saisissant dans l’armoire marquée d’un caducée, l’alcool pour désinfecter les plaies, bandages et autre matériel médicale, je songeais en cet instant morbide. Pourquoi soigner un homme qui une fois remit sur pieds repartirait combattre, en faisant abstraction des douleurs suscitées.


DERRIÈRE L'ÉCRAN

    Surnom(s) : Balba au rhum
    Age : Majeure et vaccinée Smile
    Comment avez vous connu le forum : J'ai vu de la lumière...
    Premières impression : J’aime le contexte novateur, l’histoire, le graphisme. La fiche de présentation est axée sur l’essentiel, c’est agréable. Les intrigues à venir sont prometteuses.
    Fréquence de connexion : Une fois par jour minimum, ensuite tout dépendra de mon IRL et de mes partenaires Rps.
    Avez-vous lu le règlement : Ok by Marius
    Personalité sur votre avatar : Jessica Alba


Dernière édition par Aejej le Dim 20 Mar - 16:11, édité 16 fois
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Hector

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MessageSujet: Re: Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]    Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]  EmptyDim 13 Mar - 20:19

Bienvenue !

Bon courage pour le reste de ta fiche.

Et vivement. C'est pas le tout, mais moi j'ai besoin d'être recousu !
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Aejej

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Messages : 46
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Localisation : Au côté de ma Domina Eliana

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MessageSujet: Re: Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]    Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]  EmptyLun 14 Mar - 0:52

Merci ^.^

Il me semble que toi aussi tu as une fiche de présentation à poster
Cool
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Gannicus

Gannicus


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Date d'inscription : 17/01/2011

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MessageSujet: Re: Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]    Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]  EmptyLun 14 Mar - 2:02

Il me semble aussi qu'il a une fiche à faire, le perdant Cool

Welcomeu Razz
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Aejej

Aejej


Messages : 46
Date d'inscription : 09/03/2011
Localisation : Au côté de ma Domina Eliana

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MessageSujet: Re: Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]    Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]  EmptyMer 16 Mar - 22:20

Merci Gannicus ^^

Voilou fiche terminée Smile

J'ai corrigé quelques erreurs commises concernant les dieux grecs et romains :p

Je vous souhaite bon courage pour la lecture Razz
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Marius
Admin
Marius


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MessageSujet: Re: Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]    Aejej, esclave d'Eliana - [Terminée]  EmptyJeu 17 Mar - 14:27

Bienvenue Aejej !

J'ai juste un tout petit truc à dire, sur le moment où Aejej est enlevée.
Tu parles d'une légion or une légion c'est prés de 10 000 hommes. En général, c'est des groupes d'Equites ( Cavalier romain ), par vingt ou trente qui partent attaquer les gens pour les capturer.
C'est qu'un tout petit détail sans la moindre once d'importance, mais vu que tout le reste est absolument parfait, et qu'il fallait que mon message pour valider ta fiche fasse plusieurs lignes pour me donner l'air instruit et tout ça, je me suis dit, sautons sur ce détail et hop !

Je valide bien entendu, la fiche, mais ne la verrouille pas pour d'éventuels édits, et pour qu'on puisse saluer ta validation.

J'ai aimé te lire en tout cas ! Vraiment adoré même.
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